Roxanne arrive à l'Athletic Club, pour voir Devon. Tucker s'approche d'eux et fait remarquer qu'ils se croisent beaucoup ces derniers temps. Il lui demande comment se passe son travail avec le nouveau label et lui souhaite que ça marche. Tucker s'éloigne et Roxy s'installe avec Devon. Il lui montre un tableau qu'il vient d'acheter. C'est un original et il va le mettre juste derrière lui dans son bureau. C'est la première pièce de sa collection d'art ! Elle est très contente pour lui. Neil arrive. Devon lui montre le tableau et Neil reconnaît un original de Shepard Fairey (Shepard Fairey a réalisé l'affiche la plus célèbre de la campagne de Barack Obama. Le tableau illustre le résumé). Il se doute que Devon vient de dépenser plusieurs milliers de dollars.

Dans le patio du Néon Écarlate, Genevieve explique à Jack que Jill l'envoie en voyage uniquement pour l'embêter. Jack avoue que Jill lui en a parlé. Genevieve pense que pour Jill il ne s'agit que d'un jeu de pouvoir.

À la Résidence Chancellor, ...

Au bureau, Jack est au téléphone, très contrarié d'apprendre que les expéditions sont reportées ou annulées. Katherine fait irruption dans le bureau et veut savoir ce qui se passe. Jack explique que les marchandises et supports publicitaires de la collection hiver devaient partir cette semaine, mais les entreprises de transport ne prennent plus leurs colis. Pour couronner le tout, les dockers du port le plus important se sont mis en grève. Katherine lui demande ce qu'il a encore fichu. Mais rien du tout ! Soudain, il réalise que c'est certainement Tucker qui est derrière tout ça.

Tucker revient à son appartement. Ashley est surprise qu'il soit parti si tôt ce matin. Il fallait qu'il s'occupe d'affaires urgentes. Il voit que quelque chose la tracasse. Ashley lui dit que ça n'est pas parce qu'ils ont fait l'amour qu'elle l'a pardonné. Ses mensonges et leurs conséquences ne sont pas effacés pour autant. Cela dit, elle voit bien les efforts qu'il fait. Tucker sait qu'il a eu tort et rappelle qu'il l'aime plus que tout au monde. Ils se prennent dans les bras. ...